Hadès game of the year 2021
Première fois que je joue à un Roguelike dont je ne connaissais pas les codes (exploration de donjons via différents niveaux en gros) et force est de constater qu’Hadès est une bonne surprise pour les néophytes du genre comme moi. Non seulement c’est une belle façon de -re-découvrir la mythologie grecque de manière ludique (et répétitive) afin de l’ancrer d’une belle façon dans notre mémoire, mais c’est aussi un bon défouloir (répétitif). Répétitif donc ? Oui, assurément. Le but est de multiplier les runs dans les enfers afin de remonter la pente et s’en échapper, voire d’assurer une présence sentimentale quelques minutes de plus dans la vie du personnage, sans trop spoiler. Hadès parvient néanmoins toujours à tendre une nouvelle carotte pour que la nouvelle course en vale la peine : nouvelle arme à tester, nouvelle prophétie à réaliser, intrigue en passe de se résoudre, objets à obtenir etc etc. Tout est fait pour déclencher le syndrome du « allez une petite dernière » alors qu’on po